Depuis plusieurs année, l'Amérique latine et plus particulièrement l'Amérique du Sud est en proie au changement. Par l'émergence de mouvements et de leaders progressistes, elle se démocratise. Evidemment, cela n'est pas du goût de tout le monde et l'impérialisme nord-américain refuse toujours d'admettre que les peuples latinos-américains puissent faire le choix du socialisme. Nous allons nous appuyer sur le pays, sans doute l'un des plus représentatif de ce mouvement anti-impérialiste : le Venezuela. Nous aurions pu également prendre pour exemple la Bolivie d'Evo Morales, l'Equateur de Rafael Correa ou encore l'Uruguay de Jose Mujica.
Les médias ont souvent considéré- à tort- Hugo Chavez comme un apprenti dictateur marxiste. Si le terme marxiste est juste, le terme dictateur est en totale contradiction avec la réalité. Et je suis persuadé qu'au fond d'eux même, ceux qui crachaient sur Hugo Chavez, savaient pertinemment que non seulement Chavez est le président le mieux élu, d'un point de vue démocratique, d'Amérique Latine, mais qu'en plus de cela il a plus oeuvré pour la démocratie que la plupart des pays occidentaux. En réalité, les médias refusent simplement d'admettre que la République Bolivarienne du Venezuela et les démocraties progressistes d'Amérique Latine sont plus que des alternatives au libéralisme mondial. Certes Hugo Chavez est resté au pouvoir de 1999 à 2013, mais il a été réélu à chaque fois et sous contrôle d'examinateurs international. Chavez a su mettre en place une nouvelle République. Ainsi, la Vème République Bolivarienne du Venezuela est sans doute l'une plus démocratique au monde. Chavez a, en effet, su concilier démocratie parlementaire et démocratie participative ouverte aux propositions citoyennes. Par la mise en place d'Assemblées citoyennes, de coopératives ouvrières et agricoles, et du référendum révocatoire, il a su donner aux vénézuéliens le moyen de décider que ce soit localement, nationalement ou sur leurs lieux de travail. Ces trois éléments sont indispensable à toute démocratie et République Sociale, et ils devront être mis en place lorsque nous proclamerons la 6ème République en France.
Les Assemblée citoyenne ont deux objectifs majeurs : tout d'abord, faire connaître à l'ensemble du peuple vénézuélien les initiatives du gouvernement socialiste et leurs buts. Cela implique donc que par le biais de débats populaires, les citoyens peuvent exprimer leurs avis, leurs mécontentements ou leurs satisfactions. Le second objectif et sans doute le principal est de faire en sorte que le peuple vénézuélien puisse décider par lui même les réformes que devront faire les élus vénézuéliens. En procédant ainsi, les élus ne sont pas coupé des réalités populaires et de surcroît ils peuvent prendre en compte les besoins et les désirs du peuple vénézuélien. Les coopératives ouvrières et agricoles présentent, quant à elle, l'avantage de donner au prolétariat vénézuélien le pouvoir au sein du processus de production. Les coopératives agricoles ont été l'instrument majeur de la Réforme agraire qu'à engagé le gouvernement bolivarien, et elles ont permis aux paysans de ne réapproprier leurs terres. Quant aux coopératives ouvrières, elles ont permis non seulement de créer plusieurs dizaines de milliers d'emplois et donc de baisser le chômage, mais en plus les produits qui y sont fabriqués sont vendus à petits prix et donc accessibles à tous.
Le référendum révocatoire est lui un processus visant à contrôler les activités des élus par le peuple. Ainsi, ceux qui ne rempliraient pas leurs missions vis à vis du peuple vénézuélien peuvent être révoqués si le peuple le décide. Députés, maires et conseillers ne peuvent donc que respecter les besoins du peuple. C'est ce que l'on appelle une démocratie comme Abraham Lincoln la définissait " la démocratie c'est le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple ". Le président de la République peut également être révoqué, la droite avait d'ailleurs essayé, mais le peuple vénézuélien a su défendre ses droits et ses acquis en maintenant Hugo Chavez à la tête du pays.
Voilà sur quoi nous devrons nous appuyer en France, la démocratie sociale n'arrivera qu'avec l'avènement d'une 6ème République écologiste, participative, démocratique, laïque, sociale et solidaire.
Les médias ont souvent considéré- à tort- Hugo Chavez comme un apprenti dictateur marxiste. Si le terme marxiste est juste, le terme dictateur est en totale contradiction avec la réalité. Et je suis persuadé qu'au fond d'eux même, ceux qui crachaient sur Hugo Chavez, savaient pertinemment que non seulement Chavez est le président le mieux élu, d'un point de vue démocratique, d'Amérique Latine, mais qu'en plus de cela il a plus oeuvré pour la démocratie que la plupart des pays occidentaux. En réalité, les médias refusent simplement d'admettre que la République Bolivarienne du Venezuela et les démocraties progressistes d'Amérique Latine sont plus que des alternatives au libéralisme mondial. Certes Hugo Chavez est resté au pouvoir de 1999 à 2013, mais il a été réélu à chaque fois et sous contrôle d'examinateurs international. Chavez a su mettre en place une nouvelle République. Ainsi, la Vème République Bolivarienne du Venezuela est sans doute l'une plus démocratique au monde. Chavez a, en effet, su concilier démocratie parlementaire et démocratie participative ouverte aux propositions citoyennes. Par la mise en place d'Assemblées citoyennes, de coopératives ouvrières et agricoles, et du référendum révocatoire, il a su donner aux vénézuéliens le moyen de décider que ce soit localement, nationalement ou sur leurs lieux de travail. Ces trois éléments sont indispensable à toute démocratie et République Sociale, et ils devront être mis en place lorsque nous proclamerons la 6ème République en France.
Les Assemblée citoyenne ont deux objectifs majeurs : tout d'abord, faire connaître à l'ensemble du peuple vénézuélien les initiatives du gouvernement socialiste et leurs buts. Cela implique donc que par le biais de débats populaires, les citoyens peuvent exprimer leurs avis, leurs mécontentements ou leurs satisfactions. Le second objectif et sans doute le principal est de faire en sorte que le peuple vénézuélien puisse décider par lui même les réformes que devront faire les élus vénézuéliens. En procédant ainsi, les élus ne sont pas coupé des réalités populaires et de surcroît ils peuvent prendre en compte les besoins et les désirs du peuple vénézuélien. Les coopératives ouvrières et agricoles présentent, quant à elle, l'avantage de donner au prolétariat vénézuélien le pouvoir au sein du processus de production. Les coopératives agricoles ont été l'instrument majeur de la Réforme agraire qu'à engagé le gouvernement bolivarien, et elles ont permis aux paysans de ne réapproprier leurs terres. Quant aux coopératives ouvrières, elles ont permis non seulement de créer plusieurs dizaines de milliers d'emplois et donc de baisser le chômage, mais en plus les produits qui y sont fabriqués sont vendus à petits prix et donc accessibles à tous.
Le référendum révocatoire est lui un processus visant à contrôler les activités des élus par le peuple. Ainsi, ceux qui ne rempliraient pas leurs missions vis à vis du peuple vénézuélien peuvent être révoqués si le peuple le décide. Députés, maires et conseillers ne peuvent donc que respecter les besoins du peuple. C'est ce que l'on appelle une démocratie comme Abraham Lincoln la définissait " la démocratie c'est le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple ". Le président de la République peut également être révoqué, la droite avait d'ailleurs essayé, mais le peuple vénézuélien a su défendre ses droits et ses acquis en maintenant Hugo Chavez à la tête du pays.
Voilà sur quoi nous devrons nous appuyer en France, la démocratie sociale n'arrivera qu'avec l'avènement d'une 6ème République écologiste, participative, démocratique, laïque, sociale et solidaire.
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