Les différentes affaires dans lesquelles sont impliqués des élus de l'UMP, du FN ou encore du PS, sont là pour le prouver, il faut que la population puisse exercer un contrôle sur les élus de la République, afin de pouvoir les révoquer s'ils jugent leurs bilan mauvais, où s'ils sont jugés pour différentes affaires et que la culpabilité s'avère vraie.
Ainsi, comment est-il concevable qu'un certains nombres d'élus- importants- de l'UMP soient toujours en fonction alors qu'ils ont été condamnés par la justice ?
Alain Juppé et Patrick Balkany, pour ne citer qu'eux, ont été réélus maire dès le premier tour, alors que le premier a été condamné pour prise d'intérêt illégal, et que le deuxième a été condamné pour abus de confiance, recel d'abus de biens sociaux et prise illégale d'intérêts.
Récemment c'est Isabelle Balkany, députée UMP, qui a été inculpée pour fraude fiscale, et qui pourtant se maintient à son poste de députée.
Ces élus-ci ne représentent en rien les intérêts et les attentes populaires, pas plus que les élus du Front national au Parlement européen.
Il suffit une nouvelle fois de consulter les chiffres pour s'en convaincre, au Parlement européen, lors du mandat 2009-2014 : parmi les 5 députés français les moins actifs, 3 étaient membres du Front national ( parmi eux Jean-Marie et Marine le Pen, ainsi que Bruno Gollnisch ).
En réalité, leur activité parlementaire étant quasi nulle, c'est uniquement pour empocher les indemnités, auxquelles ont le droit les députés, que les députés FN y siègent.
Partant de ce constat, comment peut-on considérer que ces élus du peuple, représentent ceux par qui ils ont été élus ?
Certes, notre démocratie nous offre le droit de voter pour le candidat ou la candidate de notre choix, mais une fois ce dernier élu, nous n'avons plus de contrôle réel sur lui, hormis lors de la prochaine élection.
Lorsque nos élus respectent leurs engagements et tiennent leurs promesses, cela n'a aucune importance, mais lorsque c'est l'inverse qui se produit, un référendum révocatoire devrait permettre d'exercer un contrôle sur les élu-e-s de la République.
De cette façon, la démocratie n'en serait qu'améliorée, de même que la souveraineté populaire.
En ayant recours au référendum révocatoire, maire, député-e, sénateur et sénatrice, et président pourrait être révoqués si au moins la moitié de la population trouve qu'ils ne respectent pas les promesses tenues lors des campagnes électorales.
Cette réforme, qui semble être une évidence démocratique et républicaine, n'est pourtant pas mise en place dans ces grands pays occidentaux, dont la France, qualifiés "d'exemple de démocratie".
En revanche, elle est en place dans nombres de pays, que les médias officiels qualifient de régimes autoritaires.
Ainsi, au Venezuela, en Bolivie, ou encore à Cuba le fait de pouvoir révoquer un élu du peuple est actuellement en place, garantissant de ce fait, un contrôle régulier et efficace de la population sur les élus.
Notre démocratie doit être réformée, plus de participation des citoyens, plus de contrôle et plus d'égalité en terme d'audience sur les télés et les radios, telles sont des propositions concrètes qui ne pourront qu'enrichir le démocratie.
Ainsi, comment est-il concevable qu'un certains nombres d'élus- importants- de l'UMP soient toujours en fonction alors qu'ils ont été condamnés par la justice ?
Alain Juppé et Patrick Balkany, pour ne citer qu'eux, ont été réélus maire dès le premier tour, alors que le premier a été condamné pour prise d'intérêt illégal, et que le deuxième a été condamné pour abus de confiance, recel d'abus de biens sociaux et prise illégale d'intérêts.
Récemment c'est Isabelle Balkany, députée UMP, qui a été inculpée pour fraude fiscale, et qui pourtant se maintient à son poste de députée.
Ces élus-ci ne représentent en rien les intérêts et les attentes populaires, pas plus que les élus du Front national au Parlement européen.
Il suffit une nouvelle fois de consulter les chiffres pour s'en convaincre, au Parlement européen, lors du mandat 2009-2014 : parmi les 5 députés français les moins actifs, 3 étaient membres du Front national ( parmi eux Jean-Marie et Marine le Pen, ainsi que Bruno Gollnisch ).
En réalité, leur activité parlementaire étant quasi nulle, c'est uniquement pour empocher les indemnités, auxquelles ont le droit les députés, que les députés FN y siègent.
Partant de ce constat, comment peut-on considérer que ces élus du peuple, représentent ceux par qui ils ont été élus ?
Certes, notre démocratie nous offre le droit de voter pour le candidat ou la candidate de notre choix, mais une fois ce dernier élu, nous n'avons plus de contrôle réel sur lui, hormis lors de la prochaine élection.
Lorsque nos élus respectent leurs engagements et tiennent leurs promesses, cela n'a aucune importance, mais lorsque c'est l'inverse qui se produit, un référendum révocatoire devrait permettre d'exercer un contrôle sur les élu-e-s de la République.
De cette façon, la démocratie n'en serait qu'améliorée, de même que la souveraineté populaire.
En ayant recours au référendum révocatoire, maire, député-e, sénateur et sénatrice, et président pourrait être révoqués si au moins la moitié de la population trouve qu'ils ne respectent pas les promesses tenues lors des campagnes électorales.
Cette réforme, qui semble être une évidence démocratique et républicaine, n'est pourtant pas mise en place dans ces grands pays occidentaux, dont la France, qualifiés "d'exemple de démocratie".
En revanche, elle est en place dans nombres de pays, que les médias officiels qualifient de régimes autoritaires.
Ainsi, au Venezuela, en Bolivie, ou encore à Cuba le fait de pouvoir révoquer un élu du peuple est actuellement en place, garantissant de ce fait, un contrôle régulier et efficace de la population sur les élus.
Notre démocratie doit être réformée, plus de participation des citoyens, plus de contrôle et plus d'égalité en terme d'audience sur les télés et les radios, telles sont des propositions concrètes qui ne pourront qu'enrichir le démocratie.
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