Lundi 3 février, le leader du parti grec Syriza et candidat du Parti de la gauche européenne (PGE) à la présidence de la commission européenne, était à Paris au siège du PCF, il a également rencontré les dirigeants du PG par la suite.
Dans une salle remplie de militants et de personnalités politiques et syndicales, parmi lesquelles Clémentine Autain ( Ensemble/FdG ), Martine Billard et Eric Coquerel (PG), Pierre Khalfa ( Fondation Copernic ), Christian Picquet (Gauche Unitaire) mais également Bernard Thibault ou Maite Mola (Parti communiste espagnol). Il fallait également souligner la présence de l'ambassadeur de Bolivie et celui du Venezuela.
Alexis Tsipras avait été désigné au dernier congrès du PGE, à Madrid, comme candidat après qu'eu lieu un débat pour déterminer si oui ou non il fallait présenter un candidat à la présidence de la commission européenne. Nous sommes, en effet, tous unanimes sur le fait que la commission européenne est néfaste pour les peuples, c'est elle qui impose aux gouvernements ces politiques drastiques d'austérités qui ne résolvent en rien les problèmes économiques et sociaux, pire qui les aggravent.
Il fallait donc débattre sur cette question là, car, si présenter un candidat à la présidence de la commission est synonyme d'acceptation de cette institution alors Tsipras doit s'en retirer immédiatement. Mais il me semble que nous avons une autre vision de la chose que je partage avec les dirigeants du PGE. Tout d'abord, cela va permettre de faire entendre une voix d'opposition résolument de Gauche au sein des plus hautes instances de l'Union Européenne ainsi qu'au sein du Parlement européen. Ce sont en effet députés européens qui élisent le président de la commission européenne, et le groupe GUE/NDL aura là une importance capitale.
Par ailleurs, en cas de victoire de notre camarade je suis partisan de la suppression de cette institution et notre camarade aurait se pouvoir avec l'appui des députés européens et des peuples. Car, et c'est cela l'essentiel, si Alexis Tsipras était élu, cela signifierait qu'une majorité de députés de " l'autre gauche " ont été élu lors des prochaine élections européennes qui se tiendront en juin, et par conséquent cela traduirait le changement que veulent les peuple européens. La campagne européenne sera donc déterminante pour l'avenir de nos pays et des peuples européens qui auront la lourde tâche de choisir entre la continuité de ces politiques qui nous oppriment ou le changement radical.
Alexis Tsipras portera l'espoir à Gauche à travers son pays mais également a travers toute l'Europe. En Grèce, Syriza est en tête des sondages, synonyme que le peuple grec veut changer son destin.
L'élection de Tsipras pourra être le prélude du vent de changement et de la contestation qui souffle sur l'Europe. Cette Europe austéritaire et libérale ne peut plus durer. Comme l'atteste si bien le titre du livre de notre camarade Patrick le Hyaric ( directeur de l'Humanité et député PCF/FDG européen ) : " l'Europe des peuples nous appellent " et il ne tient qu'à nous de répondre à cet appel.
Mettons en place les moyens nécessaires pour faire de cette campagne européenne- en coopération avec nos partis frères- une réussite.
Une autre Europe est possible, une Europe basée sur la solidarité, la coopération et l'entraide entre les peuples. Une Europe où les immigrés ne seraient plus rejetés et où les Roms ne seraient plus stigmatisés. Une Europe où les banques et les institution financières serviraient au développement des peuples et non pas à la spéculation financière pour le bonheur d'une minorité capitaliste. Car une Europe des peuples ne peut pas être capitaliste et libéral, elle devra être sociale comme la 6ème République que nous souhaitons.
Inspirons-nous du rapprochement entre les peuples latinos-américains,
permit par l'élection de gouvernements socialistes et progressiste dans cette région. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si le vice-président bolivien était présent au dernier congrès du PGE à Madrid, et si l'ambassadeur du Venezuela et celui de la Bolivie étaient présents au siège de PCF pour la rencontre avec Alexis Tsipras.
L'espoir est réelle et il ne tient qu'aux peuples de le concrétiser.
Dans une salle remplie de militants et de personnalités politiques et syndicales, parmi lesquelles Clémentine Autain ( Ensemble/FdG ), Martine Billard et Eric Coquerel (PG), Pierre Khalfa ( Fondation Copernic ), Christian Picquet (Gauche Unitaire) mais également Bernard Thibault ou Maite Mola (Parti communiste espagnol). Il fallait également souligner la présence de l'ambassadeur de Bolivie et celui du Venezuela.
Alexis Tsipras avait été désigné au dernier congrès du PGE, à Madrid, comme candidat après qu'eu lieu un débat pour déterminer si oui ou non il fallait présenter un candidat à la présidence de la commission européenne. Nous sommes, en effet, tous unanimes sur le fait que la commission européenne est néfaste pour les peuples, c'est elle qui impose aux gouvernements ces politiques drastiques d'austérités qui ne résolvent en rien les problèmes économiques et sociaux, pire qui les aggravent.
Il fallait donc débattre sur cette question là, car, si présenter un candidat à la présidence de la commission est synonyme d'acceptation de cette institution alors Tsipras doit s'en retirer immédiatement. Mais il me semble que nous avons une autre vision de la chose que je partage avec les dirigeants du PGE. Tout d'abord, cela va permettre de faire entendre une voix d'opposition résolument de Gauche au sein des plus hautes instances de l'Union Européenne ainsi qu'au sein du Parlement européen. Ce sont en effet députés européens qui élisent le président de la commission européenne, et le groupe GUE/NDL aura là une importance capitale.
Par ailleurs, en cas de victoire de notre camarade je suis partisan de la suppression de cette institution et notre camarade aurait se pouvoir avec l'appui des députés européens et des peuples. Car, et c'est cela l'essentiel, si Alexis Tsipras était élu, cela signifierait qu'une majorité de députés de " l'autre gauche " ont été élu lors des prochaine élections européennes qui se tiendront en juin, et par conséquent cela traduirait le changement que veulent les peuple européens. La campagne européenne sera donc déterminante pour l'avenir de nos pays et des peuples européens qui auront la lourde tâche de choisir entre la continuité de ces politiques qui nous oppriment ou le changement radical.
Alexis Tsipras portera l'espoir à Gauche à travers son pays mais également a travers toute l'Europe. En Grèce, Syriza est en tête des sondages, synonyme que le peuple grec veut changer son destin.
L'élection de Tsipras pourra être le prélude du vent de changement et de la contestation qui souffle sur l'Europe. Cette Europe austéritaire et libérale ne peut plus durer. Comme l'atteste si bien le titre du livre de notre camarade Patrick le Hyaric ( directeur de l'Humanité et député PCF/FDG européen ) : " l'Europe des peuples nous appellent " et il ne tient qu'à nous de répondre à cet appel.
Mettons en place les moyens nécessaires pour faire de cette campagne européenne- en coopération avec nos partis frères- une réussite.
Une autre Europe est possible, une Europe basée sur la solidarité, la coopération et l'entraide entre les peuples. Une Europe où les immigrés ne seraient plus rejetés et où les Roms ne seraient plus stigmatisés. Une Europe où les banques et les institution financières serviraient au développement des peuples et non pas à la spéculation financière pour le bonheur d'une minorité capitaliste. Car une Europe des peuples ne peut pas être capitaliste et libéral, elle devra être sociale comme la 6ème République que nous souhaitons.
Inspirons-nous du rapprochement entre les peuples latinos-américains,
permit par l'élection de gouvernements socialistes et progressiste dans cette région. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si le vice-président bolivien était présent au dernier congrès du PGE à Madrid, et si l'ambassadeur du Venezuela et celui de la Bolivie étaient présents au siège de PCF pour la rencontre avec Alexis Tsipras.
L'espoir est réelle et il ne tient qu'aux peuples de le concrétiser.
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