Au Venezuela, on assiste depuis plusieurs jours désormais à de violentes manifestations organisées par la droite. On recense déjà des morts ainsi que plusieurs dizaines de blessés. Ces mouvements de déstabilisation a travers le pays constituent un danger pour la démocratie et la paix. Le président Nicolas Maduro a annoncé que les auteurs de ces violences seront soumis à la justice, car nul ne peut porter atteinte à la vie du peuple vénézuélien.
Ce n'est pas la première fois que le gouvernement bolivarien est victime de tentative de coup d'Etat. Déjà en 2002, le patronat vénézuélien aidé par les Etats-Unis avaient voulu renverser Hugo Chavez. Ce dernier avait été détenu deux jours en prison avant que le peuple vénézuélien aidé par une partie de l'armée le libère et réinstaure la démocratie.
L'impérialisme nord-américain n'arrive toujours pas à se faire à l'idée que les peuples latinos-américains ont choisi- pour beaucoup- la voie du socialisme. Et Les Etats-Unis préfèrent aider financièrement un pays comme la Colombie, coupable ouvertement de violation des droits de l'homme, plutôt que d'avouer que les gouvernements socialistes et progressistes d'Amérique Latine sont plus que des alternatives, des solutions.
Nous affirmons notre soutient au gouvernement de la République Bolivarienne ainsi qu'au peuple vénézuélien.
Les tentatives de déstabilisations du gouvernement démocratique du Venezuela n'ont été dénoncer par aucune grande puissance occidentale, pire France 2 dans un reportage a indiqué que c'était le régime qui avait ouvert le feu sur des manifestants pacifiques. Or, aucun blessé n'est as déploré parmi les "groupes de chocs" qui organisent la violence. De plus, on recense à ce jour 3 morts, dont un partisan de Maduro, aucun chez les manifestants quant aux blessés ce sont d'une part des membres de la police et d'autres part des civiles. France 2- comme les autres chaînes de télévisions- doit cesser, immédiatement, ces mensonges sur les Révolutions en cours en Amérique Latine, car ces gouvernements progressistes ont été élu démocratiquement et les constitutions des pays en question mettent en avant les volontés populaires, tout l'inverse de ce que nous fait subir actuellement la commission européenne.
La crainte d'un pustch est bien réel, car la menace est bien réelle, rappelant les pires heures des politiques néolibérales qu'avaient subi de plein fouet les peuples sud-américains avec la bénédiction de la Banque mondiale, du FMI, et des Etats-Unis.
Depuis l'arrivée au pouvoir en 1999 d'Hugo Chavez ( qui avait ensuite été réélu jusqu'à sa mort en mars 2013 ) et la mise en place de réformes socialiste, les conditions de vie du peuples vénézuélien n'ont cessé de prospérer ; le chômage est en baisse ( 5,6 % actuellement ), la pauvreté et l'extrême pauvreté ont fortement diminué, les salaires ont augmenté, la réforme agraire a permit la redistribution des terres et le développement des coopératives agricoles, la durée du congé maternité a été augmenté, la durée du temps de travail hebdomadaire a, quant à elle, était réduite. La République Bolivarienne a également mit en place des magasins d'alimentation d'Etat à prix faible, elle a crée des banques communales et a permit l'accès à la santé et à l'éducation de tous même dans les bidonvilles où leurs habitants sont soignés par des médecins cubains gratuitement.
Bien sûr que tout n'est pas parfait, et il serait idiot de notre part d'approuver tous ce qui se passe au Venezuela, le principale problème étant le fort taux de criminalité provoqué par le business de la cocaïne et auquel il est dure de venir à bout.
Malgré tout, le Venezuela reste un exemple de résistance face à l'impérialisme et face au monde de la finance, et nous espérons que le peuple vénézuélien ne se laissera pas berner par cette opposition de droite qui ne cherche que la violence.
Ce n'est pas la première fois que le gouvernement bolivarien est victime de tentative de coup d'Etat. Déjà en 2002, le patronat vénézuélien aidé par les Etats-Unis avaient voulu renverser Hugo Chavez. Ce dernier avait été détenu deux jours en prison avant que le peuple vénézuélien aidé par une partie de l'armée le libère et réinstaure la démocratie.
L'impérialisme nord-américain n'arrive toujours pas à se faire à l'idée que les peuples latinos-américains ont choisi- pour beaucoup- la voie du socialisme. Et Les Etats-Unis préfèrent aider financièrement un pays comme la Colombie, coupable ouvertement de violation des droits de l'homme, plutôt que d'avouer que les gouvernements socialistes et progressistes d'Amérique Latine sont plus que des alternatives, des solutions.
Nous affirmons notre soutient au gouvernement de la République Bolivarienne ainsi qu'au peuple vénézuélien.
Les tentatives de déstabilisations du gouvernement démocratique du Venezuela n'ont été dénoncer par aucune grande puissance occidentale, pire France 2 dans un reportage a indiqué que c'était le régime qui avait ouvert le feu sur des manifestants pacifiques. Or, aucun blessé n'est as déploré parmi les "groupes de chocs" qui organisent la violence. De plus, on recense à ce jour 3 morts, dont un partisan de Maduro, aucun chez les manifestants quant aux blessés ce sont d'une part des membres de la police et d'autres part des civiles. France 2- comme les autres chaînes de télévisions- doit cesser, immédiatement, ces mensonges sur les Révolutions en cours en Amérique Latine, car ces gouvernements progressistes ont été élu démocratiquement et les constitutions des pays en question mettent en avant les volontés populaires, tout l'inverse de ce que nous fait subir actuellement la commission européenne.
La crainte d'un pustch est bien réel, car la menace est bien réelle, rappelant les pires heures des politiques néolibérales qu'avaient subi de plein fouet les peuples sud-américains avec la bénédiction de la Banque mondiale, du FMI, et des Etats-Unis.
Depuis l'arrivée au pouvoir en 1999 d'Hugo Chavez ( qui avait ensuite été réélu jusqu'à sa mort en mars 2013 ) et la mise en place de réformes socialiste, les conditions de vie du peuples vénézuélien n'ont cessé de prospérer ; le chômage est en baisse ( 5,6 % actuellement ), la pauvreté et l'extrême pauvreté ont fortement diminué, les salaires ont augmenté, la réforme agraire a permit la redistribution des terres et le développement des coopératives agricoles, la durée du congé maternité a été augmenté, la durée du temps de travail hebdomadaire a, quant à elle, était réduite. La République Bolivarienne a également mit en place des magasins d'alimentation d'Etat à prix faible, elle a crée des banques communales et a permit l'accès à la santé et à l'éducation de tous même dans les bidonvilles où leurs habitants sont soignés par des médecins cubains gratuitement.
Bien sûr que tout n'est pas parfait, et il serait idiot de notre part d'approuver tous ce qui se passe au Venezuela, le principale problème étant le fort taux de criminalité provoqué par le business de la cocaïne et auquel il est dure de venir à bout.
Malgré tout, le Venezuela reste un exemple de résistance face à l'impérialisme et face au monde de la finance, et nous espérons que le peuple vénézuélien ne se laissera pas berner par cette opposition de droite qui ne cherche que la violence.
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