Cheminots, intermittents du spectacle, postiers, par milliers les travailleurs de ce pays se mobilisent contre la politique d'austérité menée par ce gouvernement qui n'a que faire des attentes populaires.
Ainsi, c'est avec la bénédiction du Medef et sous le fouet de Bruxelles qu'Hollande, Valls et les autres agissent au nom de la compétitivité et du, désormais célèbre, coût du travail.
Or, loin de rétablir la situation et d'atténuer les effets de la crise, ces politiques nous enfoncent chaque jour un peu plus dans la récession. Les chiffres sont là pour en attester, entre augmentation de la pauvreté, augmentation du nombres de sans domiciles fixes et accroissement des inégalités, la situation devient de plus en plus désastreuse pour des millions de personnes, tandis qu'une minorité vit dans l'opulence et voit ses revenus s'accroître à mesure que ceux des autres diminuent.
Le pacte de responsabilité prévu par Manuel Valls ne résoudra pas la crise et ne baissera le chômage comme il le prétend.Bien au contraire, ce pacte qui prévoit une suppression de 50 milliards d'euros de dépenses publiques, va contribuer à la misère sociale et à la pauvreté. Comment pourrait-il en être autrement quand ce pacte prévoit des réductions de dépenses dans les domaines essentiels à tout citoyen, que sont la santé, la culture, les transports. En réalité c'est tout notre système de service collectifs ainsi que notre sécurité sociale qui sont menacés par ces politiques d'austérités.
Face à ça, les mobilisations s'organisent, la grève des cheminots en est la parfaite illustration, et il est de notre devoir de soutenir cette lutte, tout comme nous nous devons de soutenir celle des intermittents du spectacle ainsi que les innombrables autres à travers le pays. L'exemple des Fralibs est là pour montrer à tous que la lutte des classes existe plus que jamais, et qu'il est possible, à force de courage et de solidarité, d'aller au bout de notre lutte. C'est ainsi que les ouvriers de Géménos ont obtenu gain de cause face à la multinationale Unilever ( dépositaire entre autres de la marque Lipton ) et vont pouvoir désormais monter et organiser leur projet de Société coopérative et participative (SCOP).
Ainsi, tout citoyen se doit de soutenir les mouvements de grève qui ne sont là que pour assurer la défense de vos droits. Pourquoi les cheminots sont-ils en grève si ce n'est que pour défendre notre système ferroviaire ?
Il est facile de critiquer ceux qui se battent et ceux qui luttent au quotidien, il est en revanche bien plus dur de s'engager dans un combat dont on ne connaît pas l'issue. Car si l'histoire nous a appris une chose, c'est bien que lorsqu'on lutte on n'est jamais sûr de l'emporter, mais c'est lorsqu'on ne lutte pas qu'on est sûr d'avoir perdu.
" Si tu ne participes pas à la lutte, tu participes à la défaite " voilà ce que doivent entendre ceux qui s'opposent à la grève des cheminots et celles des autres, alors que ces dernière sont réalisées pour défendre nos droits.
La grève fut, reste, et restera la principale arme des travailleurs pour la conquête de droits nouveaux, n'oubliez jamais que nos principaux acquis sociaux tels que les congés payés, par exemple, furent acquis par des grèves. La grève dérange les puissants qui s'obstinent à monter les personnes contre les autres, usagers contre grévistes, syndicalistes contre non-syndiqués.
Face à cette stigmatisation continuons nos mobilisations, la lutte finit toujours par payer!
Ainsi, c'est avec la bénédiction du Medef et sous le fouet de Bruxelles qu'Hollande, Valls et les autres agissent au nom de la compétitivité et du, désormais célèbre, coût du travail.
Or, loin de rétablir la situation et d'atténuer les effets de la crise, ces politiques nous enfoncent chaque jour un peu plus dans la récession. Les chiffres sont là pour en attester, entre augmentation de la pauvreté, augmentation du nombres de sans domiciles fixes et accroissement des inégalités, la situation devient de plus en plus désastreuse pour des millions de personnes, tandis qu'une minorité vit dans l'opulence et voit ses revenus s'accroître à mesure que ceux des autres diminuent.
Le pacte de responsabilité prévu par Manuel Valls ne résoudra pas la crise et ne baissera le chômage comme il le prétend.Bien au contraire, ce pacte qui prévoit une suppression de 50 milliards d'euros de dépenses publiques, va contribuer à la misère sociale et à la pauvreté. Comment pourrait-il en être autrement quand ce pacte prévoit des réductions de dépenses dans les domaines essentiels à tout citoyen, que sont la santé, la culture, les transports. En réalité c'est tout notre système de service collectifs ainsi que notre sécurité sociale qui sont menacés par ces politiques d'austérités.
Face à ça, les mobilisations s'organisent, la grève des cheminots en est la parfaite illustration, et il est de notre devoir de soutenir cette lutte, tout comme nous nous devons de soutenir celle des intermittents du spectacle ainsi que les innombrables autres à travers le pays. L'exemple des Fralibs est là pour montrer à tous que la lutte des classes existe plus que jamais, et qu'il est possible, à force de courage et de solidarité, d'aller au bout de notre lutte. C'est ainsi que les ouvriers de Géménos ont obtenu gain de cause face à la multinationale Unilever ( dépositaire entre autres de la marque Lipton ) et vont pouvoir désormais monter et organiser leur projet de Société coopérative et participative (SCOP).
Ainsi, tout citoyen se doit de soutenir les mouvements de grève qui ne sont là que pour assurer la défense de vos droits. Pourquoi les cheminots sont-ils en grève si ce n'est que pour défendre notre système ferroviaire ?
Il est facile de critiquer ceux qui se battent et ceux qui luttent au quotidien, il est en revanche bien plus dur de s'engager dans un combat dont on ne connaît pas l'issue. Car si l'histoire nous a appris une chose, c'est bien que lorsqu'on lutte on n'est jamais sûr de l'emporter, mais c'est lorsqu'on ne lutte pas qu'on est sûr d'avoir perdu.
" Si tu ne participes pas à la lutte, tu participes à la défaite " voilà ce que doivent entendre ceux qui s'opposent à la grève des cheminots et celles des autres, alors que ces dernière sont réalisées pour défendre nos droits.
La grève fut, reste, et restera la principale arme des travailleurs pour la conquête de droits nouveaux, n'oubliez jamais que nos principaux acquis sociaux tels que les congés payés, par exemple, furent acquis par des grèves. La grève dérange les puissants qui s'obstinent à monter les personnes contre les autres, usagers contre grévistes, syndicalistes contre non-syndiqués.
Face à cette stigmatisation continuons nos mobilisations, la lutte finit toujours par payer!
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